mercredi 28 avril 2010

Audit sur la puer'

S'il y a bien un truc auquel on ne pense pas forcément lorsqu'on met un bébé en route, c'est le matos puéricole dans lequel il va falloir investir.
Disons qu'on y pense, mais plutôt comme une vague idée, dont on a conscience, mais sans vraiment approfondir la question.
C'est lorsqu'on achève son cinquième mois de grossesse que la question devient plus prégnante.
C'est là également que l'on découvre que l'univers puéricole regorge de ressources, et que si on se lâchait un peu, on pourrait tout acheter, par mesure de précaution.

Bon.
Tu l'auras compris, je suis confrontée, avec MaB, à cette épineuse question.

Nous nous sommes donc attelées à cette lourde tâche qu'est la prospection... sur les produits, les modèles, et aussi sur les bonnes affaires.
Pour débuter, nous avons établi une première liste, dite des essentiels : poussette, siège-auto, lit, commode à langer, transat, baignoire, porte-bébé...
Puis, après les premières recherches, un certain nombre de produits se sont imposés d'eux-mêmes dans une autre liste, dite technique : biberon, stérilisateur, tire-lait, mouche-bébé, tétines, thermomètre, coupe-ongle...
Enfin, à ces deux listes, il faut également ajouter la liste pour laquelle tout le monde voudrait se lâcher dès maintenant, la liste dite textile : layette, pyjamas, gigoteuse, bonnets, chaussons, tour de lit, sorties de bain...

Sur le papier (ou l'écran, hein, soit pas bégueule), ça a l'air simple... il suffirait d'acheter tout ça dans une même boutique, et hop, le tour est joué !
Et bien figure-toi que c'est beauuuucoup plus complexe que ça.
Tous ces produits de base ont une multitude d'options, toutes plus innovantes les unes que les autres. Et lorsque tu es primipare comme moi, ce genre de détails fait virer une prospection au casse-tête.

Les essentiels
- le porte-bébé : pour l'instant, on attend de voir comment va se passer l'apprentissage de la technique de portage en écharpe... si on trouve ça trop casse-gueule, nous investirons dans un truc, là encore, relativement classique, confortable, respirant, ultra-fonctionnel (il ne faudrait pas que l'installation du porte-bébé soit plus galère que celle de l'écharpe).

- le transat : il a fallu que je montre à MaB ce que c'était pour qu'elle se rende compte que ça pouvait être très utile à la maison, notamment lorsque nous voudrions continuer à vivre sans avoir un bébé dans les bras (apéro, poker, repas...). Je vous passe les détails, mais Sapinou a bien failli se retrouver parterre, allongé à l'arrache sur une couverture. Le problème du matos puéricole, c'est que sous prétexte d'éveil forcé des jeunes enfants, la couleur, souvent de mauvais goût, est de mise. Contre toute attente, nous avons fini par nous mettre d'accord sur un truc pratique et pas cher, dans une matière lavable. Trop facile, on a commencé à prendre la confiance, grave.

- la baignoire : nos grands-mères se posaient sûrement moins de questions... une bonne bassine en fonte au milieu de la cuisine, et hop, le tour était joué. Sauf que depuis, des choses ont changé : il existe de vraies baignoires, en plastique, avec un bouchon pour les vider. Même qu'il y en a qui ont une forme soit disant ergonomique, avec un plan incliné et un petit siège pré-moulé... ou d'autres qui ont une forme de pot dans lequel le bébé est sensé retrouver ses sensations intra-utérines grâce à la position fœtale. Il y en a même qui peuvent se mettre sur pieds, histoire d'être à hauteur sans se casser le dos. Il existe aussi des hamacs de bain ou des réducteurs de grande baignoire. Le seul problème, c'est que plus c'est perfectionné, plus ça prend de la place et, toujours forcément, plus c'est cher. On a découvert un plutôt bon compromis : prendre un modèle qui se pose sur les rebords d'une baignoire de grand, avec une table à langer qui coulisse au dessus. Si on ne trouve pas ce modèle d'occasion, j'ai élaboré un plan B : trouver une baignoire d'occasion qui se pose sur les rebords et faire tailler une planche pour la poser à côté, sur la grande baignoire. On est bricol-girl ou on ne l'est pas !
Jusque-là, ça allait, pas trop de prise de tête, les recherches internet sont nos amies.

- la chambre : au départ, tu te dis "pfiou, un simple lit à barreaux, et le tour est joué". Sauf que, lorsque tu explores la moitié des magasins et/ou site de puériculture disponibles, tu te rends compte, qu'en fait, tu as des lits avec hauteur du sommier réglable, avec des barreaux ou un pan amovibles, des matelas mousse, des matelas en bambou, des matelas à ressort... et puis des modèles différents, à des qualités différentes et à des prix différents, forcément.
Sauf que dans les premiers mois, un nourrisson peut se sentir perdu dans un si grand lit. Alors il y a le choix entre un berceau ou un nid de lit, sorte de coussin ergonomique sur lequel tu poses le bébé pour qu'il ait l'impression d'être blotti. Marketing et innovation, je suis rodée.
A cela, il faut également penser à la table à langer... commode assortie au lit, simple table sur roulettes, avec baignoire intégrée, large, moins large, tiroirs, étagères.
Heureusement, les parents de MaB vont nous venir en aide pour financer cet investissement de taille, et nous allons également récupérer un berceau, celui qui a servi à mon frère et à ma sœur... il y a 20-25 ans... osier et dentelle si je me souviens bien. So kitch, on pourra faire les fées au dessus du petit !

- le transport : c'est là que ça se corse. Et sérieusement. Comment choisir le moyen le plus sûr de transporter un bébé, en voiture comme sur roulettes ?
Nacelle de landau rigide, pour les 3-4 premiers mois seulement... jusqu'à 6 mois pour les crevettes ?
Coque siège-auto premier âge qui peut se transporter facilement et s'adapter sur un châssis de poussette, sachant qu'il faut compter entre 3 et 5kg à vide, et prévoir un réducteur d'assise jusqu'à 4-5 mois ?
Châssis de poussette, à 3 ou 4 roues, pour faire uniquement des trajets en ville et slalomer entre les crottes de chien, ou parfois des ballades à la campagne, avec gravillons, bouses de vache ou sable fin ?
Hamac de poussette qui peut s'allonger complètement ?
Packs trio (nacelle+coque+poussette) ?
Packs duo (coque+poussette) ?
Achats séparés au meilleur prix ?
A ce sérieux casse-tête, rajoute la prise de tête avec ma mère, qui, au départ avait clamé haut et fort que le transport, c'était elle, et qui, au moment de la présentation d'un certain nombre de modèles, a fait comme si elle n'avait rien dit, tout en critiquant les choix que nous avions fait avec MaB... "la nacelle ça ne sert à rien", "la coque c'est trop petit", "la poussette canne c'est pas pratique", "le lit-voiture, c'est mieux" (sauf que ça ne se fait plus depuis 25-30 ans, faute de normes sécuritaires), "un nourrisson ça ne se transporte pas autrement que sur le ventre" (je n'avais pourtant pas l'impression que mes parents avaient sacrifié leur vie sociale pendant les 6-8 premiers mois de la vie de leurs enfants).
Ce qui, évidemment, a valu une petite mise au point sur ma future condition de femme et de mère, que je n'envisage pas cloitrée à la maison avec mon nourrisson collé à moi, ou à MaB, dès que nous sortirons quelque part. Question de point de vue.
Donc, dans l'absolu, ce qui serait le mieux, dans le monde des bisounours, c'est une nacelle, une coque premier-âge et un châssis 3 roues avec hamac qui peut s'allonger complètement. Au niveau des prix, ça serait plutôt une coque et un châssis 4 roues.


Les techniques
Nous avons également prospecté pour ces produits plus techniques, mais là aussi, trop de choix tue le choix !
Des biberons, petits, moyens, grands... en verre ou en plastique, sans bisphénol siouplaît.
Des tétines à 1, 2 ou 3 vitesses, avec des adaptateurs anti-coliques.
Des stérilisateurs à froid, à chaud, électriques, au four à micro-ondes.
Des tires-lait (oui... vu que j'ai l'intention d'allaiter, je me suis dis que ça pourrait éventuellement être utile), manuel ou électrique, avec pots de stockage, coupelle confort et coussinets adaptés.
Des nécessaires de toilettes, avec coupe-ongle, thermomètre, brosse, mouche-bébé...
Mais ces produits se trouvent vraiment partout, donc il sera plus simple de les acheter pendant les soldes, par exemple, ou au tout début de mon congé maternité (avec la prime à la naissance versée par la CAF, pourquoi pas ?).

Les textiles
Cette prospection m'a fait réaliser que d'ici 4 mois nous allions devoir nous occuper d'un nourrisson de 50 cm, et que ça n'était vraiment pas grand du tout... La taille de la layette naissance m'a un peu fait halluciner, c'est si petit !
En même temps, c'est rassurant, aussi. Ça veut dire que ce "si petit" va sortir de mon utérus, et donc occasionner moins de dégâts que le bébé plus gros de mon imaginaire.
Nous n'avons encore rien acheté : nous attendons les prévisions de mensurations de Sapinou à la naissance. Histoire de ne pas acheter 1kg de pyjamas en naissance alors qu'il fera presque 55 cm, soit taille 1 mois.
Et puis nous attendons le modèle de lit et l'aménagement de la chambre pour nous lâcher sur la déco... tour de lit, gigoteuse, stickers, mobile, sortie de bain, matelas à langer, draps...

Bref.
Il nous reste un peu moins de 4 mois pour tirer ça au clair, et faire une liste de naissance pour éviter les cadeaux inutiles. Autant de temps pour éplucher toutes les bonnes affaires d'internet et arpenter la quasi-totalité des magasins de puériculture d'Ile-de-France.
Comme ça, j'ai l'air serein... en vrai, ça m'angoisse complètement de faire le mauvais choix et de me trouver en galère le jour où Sapinou sera là, en chair et en os.

mardi 20 avril 2010

On ne nait pas femme enceinte, on le devient !

Déjà cinq mois de grossesse passés... on ne dirait pas comme ça, mais ça passe vite !
Cinq mois à me poser tout un tas de questions, sur ma sexualité, sur mon genre, sur mon statut passé et à venir, sur ma position dans le couple, sur les changements de mon enveloppe corporelle et de mon psychisme...
Bref, tu l'auras compris, je ne mène pas une grossesse tout à fait épanouie, dans le sens où beaucoup de sentiments paradoxaux m'assaillent.

Je t'explique.
Physiquement, à part l'épiphénomène Hépatite A, tout se passe bien. Pas de contractions, pas d'hypertension, pas trop de prise de poids (quoique... je me suis encore fait remonter les bretelles par mon gynéco parce que je me suis un peu lâchée sur les chocolats de Pâques... fini le miel sur les tartines le matin et le sucre dans les boissons chaudes), pas de diabète, pas de douleurs dorsales, pas de jambes lourdes, un développement fœtal tout à fait satisfaisant. Rien à signaler.
Je t'en avais déjà parlé (), mais après quelques difficultés, j'ai enfin accepté les évolutions de mon corps (et pris une taille de bonnet supplémentaire... encore), même si malgré tout, mon ventre reste très discret, compte tenu de la taille du bébé et de l'avancement de ma grossesse. Mon gynéco m'a dit que c'était parce le bébé était en position latérale, comme dans un hamac. Mouais.

C'est psychiquement que s'opère le grand chambardement.
J'ai pleinement conscience que je suis enceinte, que je désire cet enfant aux côtés de MaB, que c'est un projet que nous avons construit au fil des mois et des années. Depuis presque 2 mois, je sens le bébé bouger, de mieux en mieux, de plus en plus fort. Je vis pleinement cette grossesse depuis le début, je vois le bébé régulièrement sur les échographies, J'attends un enfant de Laurence Pernoud est mon livre de chevet (enfin plutôt livre de chiottes, étant donné les perturbations de mon transit intestinal depuis le début de ma grossesse, il faut bien que j'occupe mon temps sur le trône...), je me préoccupe de l'avenir avec l'inscription à la crèche, la préparation de la chambre, les achats divers et variés pour préparer son arrivée (du moins la prospection pour commencer... poussette, landau, siège-auto, berceau, baignoire, lit, table à langer, biberons, stérilisateur, layette...).
Mais pourtant, c'est comme si je vivais cette grossesse de l'extérieur... j'ai réalisé ça après notre première séance de préparation à l'accouchement, MaB et moi, avec une sage-femme haptonome.

Au premier abord, dans la théorie, l'haptonomie (ici, ou ) peut paraître un peu comme un truc de charlatan... science de l'affectivité qu'ils disent. Cela permettrait de mieux intégrer l'autre parent dans le duo fusionnel mère-enfant.
Sauf que chez moi, cette relation, qui est de fait fusionnelle (le bébé est dans mon corps, je le sens bouger, je lui transmets toutes mes émotions) ne l'est pas tant que ça. Un peu comme ces pères qui ne réalisent que l'enfant existe que lorsqu'ils le voient bouger sur une échographie ou lorsqu'ils le tiennent dans leurs bras pour la première fois.
Cette première séance était sensée permettre à MaB d'entrer en contact avec le bébé (même si cela ne l'avait pas déjà empêchée de poser ses mains sur mon ventre pour sentir Sapinou me filer des coups de lattes dans la vessie). Des mains légères comme des plumes pour appeler Sapinou à sa rencontre, pour le faire bouger, pour entrer en contact, pour le guider là où il faut, pendant la grossesse, pour soulager la mère, et juste avant la naissance, pour lui montrer le chemin vers la sortie.

MaB a adoré. Moi, j'ai eu l'impression de vivre cette séance de l'extérieur... malgré mes mains posées sur celles de MaB, elles-mêmes posées sur mon ventre, je n'ai pas vraiment senti Sapinou se mouvoir, ni même vraiment bouger, alors que dix minutes avant, il gigotait comme un dingue... C'était très étrange, comme si j'étais exclue de cette relation entre MaB et son bébé. Comme si j'étais ce père, cet autre parent, qui a du mal à trouver sa place dans une relation mère-enfant... alors que je porte cet enfant.

Et bien tu me croiras ou pas, mais la sage-femme trouvait que Sapinou était un peu bas.
Elle a dit à MaB de guider Sapinou plus haut dans mon ventre, ce qu'il s'est empressé de faire.
Près de 24h plus tard, la forme de mon ventre s'est modifiée... le ventre est sorti d'un coup. Comme si, enfin, je me sentais intégrée à ce projet, à cette naissance, et que donc je pouvais laisser éclater au grand jour cette vérité que je dissimulais quelque peu jusqu'à maintenant.

L'haptonomie, au delà de l'accompagnement de Sapinou vers l'autonomie, va surtout me permettre de mieux assumer cette maternité, à mettre en relation mon état de gestation et mon état de parent.
Cette préparation à la naissance va me permettre de construire ma parentalité, tout simplement, sans aucune connotation de genre, ni de sexualité.

Du coup, je peux maintenant me réjouir totalement de l'arrivée de ce petit bonhomme, sans forcément dévaliser tous les rayons de layette bleue !
Nous savons depuis peu, surtout que, malgré son activité physique débordante, Sapinou est un petit timide, et il a fallu s'y prendre à plusieurs reprises pour avoir les "preuves" de son identité !

jeudi 15 avril 2010

La boulette du siècle

A défaut de la trouver au fond de ma chaussette, grossesse oblige, je les accumule, les boulettes, les petites fautes d'inattention, les conneries... finie la période wonder woman qui faisait triper ma femme. Disons que je suis un peu déconcentrée par un truc qui gigote sous mon nombril (qui en plus a ses têtes voix et qui se met à remuer sur certains sons).

La plupart du temps, ces petites erreurs n'ont pas de conséquences dramatiques... oublis de réunions, des clés de l'appart' sur la boîte aux lettres, de remettre de l'essence dans la voiture (ça, c'était trop la loose de tomber en panne au milieu d'un pont, sous la pluie, à 20h, sans aucun moyen de paiement et une femme en béquilles à la maison qui ne peut pas venir avec la carte bleue... ouais... j'ai tout de même noté que ma réserve ne dépassait pas les 45 km). Tant qu'ont ne fait pas les choses, ça n'est pas trop grave, je passe juste pour une écervelée. C'est quand on commence à "faire" les conneries que ça se gâte.
Boulettes de bronze.

Il y a eu ce petit problème de compréhension avec les impôts en fin d'année dernière... j'ai cru qu'en demandant la mensualisation de la taxe d'habitation, ça nous permettrait d'étaler la somme sur 12 mois. En fait non : tu payes juste en avance celle de l'année d'après. On a bien reçu un truc début janvier, mais je me suis dit "rhooo les bouffons, ils n'ont pas vu que je payais chaque mois ? pffff". Et là, lorsque nous avons reçu un commandement de payer la totalité de la somme, nous avons un peu flippé... Bon. Nous avons trouvé un arrangement avec les impôts. Ils ont du avoir pitié.
Boulette d'argent.

Mais là, permet-moi de te dire que je viens d'en faire une, de connerie. Massive, monumentale, irrémédiable.
En voulant régler une échéance par carte bleue sur internet, au lieu de payer 50 €, j'ai payé la totalité de la somme... soit... 900 €.
Rien à voir.
Surtout pour le budget.
C'était lundi soir.
Heureusement que MaB, ma super woman à moi, était là.
Face à ma montée larmoyante, elle a pris les choses en main. Après avoir retourné ciel et terre pour faire annuler ce paiement, rien à faire. Entre l'incompétence de ma banque (là, je dois dire qu'elle a atteint des sommets) et le fait que le bénéficiaire du paiement soit la Caisse des Dépôts, le paiement est bien passé.
Avant le loyer et les impôts.
Plus les charges du mois en cours.
Plus les dépassements d'honoraires des échographies.
Ouais.
Boulette d'or.
Bon. Ça craint, du boudin, même.
Vu que wonder woman arrive toujours à ses fins, j'ai rendez-vous vendredi matin avec l'assistante sociale de l'Inspection Académique, pour une solution de secours, histoire de continuer à manger jusqu'à la fin du mois et éviter que la banque ne rejette le chèque de loyer. Mon dossier ne passera devant une commission du service social du rectorat ou de la mutuelle de l'Éducation Nationale que d'ici un mois, et là, je pourrai bénéficier d'un fond d'aide, à taux zéro.

Permets-moi de te dire que je n'en mène pas large, que je culpabilise à mort, mais que ma femme se garde bien de me le faire remarquer. A sa place, je crois que j'aurai pété une durite grave... peut-être même j'aurai pu bouder pendant quelques heures, voire quelques jours...
Elle est formidable de patience, il faut le souligner (même si sur le moment, je peux lui soutenir le contraire). J'ai tout de même eu ordre de ne plus rien faire, de ne plus rien gérer niveau factures.
Vraiment, je ne vois pas pourquoi... ce genre de truc, ça n'arrive qu'une fois, non ?
Ou alors, ça n'arriverait qu'à moi ce genre de truc ?
Je te tiendrai au courant de ma Boulette de platine.
Ou pas.

Sinon, ça va... je suis en vacances demain soir. Ça va faire du bien, même si je n'ai pas vu passer cette période, avec ma reprise du boulot !