De toutes les invasions microbiennes et virales de cette année, je suis passée au travers... la grippe de décembre, les multiples gastro-entérites, les angines, les impétigos intempestifs... rien ne m'a atteinte, rien ne m'a touchée. Je suis un repoussoir à microbes.
Et là, je sens que vous vous dites que le titre n'a rien à voir avec les suites de Bach pour violoncelle seul... même par Yo-Yo Ma.
Effectivement. Elle a mis le week-end à mûrir, pour enfin se déclarer aujourd'hui.
Bilan : gastro.
Douloureuse et fiévreuse mais pas vomissante. C'est déjà ça.
Mais courante quand même.
Et puis de toutes façons, il n'y a pas de raison pour que je ne me laisse pas entraîner dans les délires scatologiques de la blogosphère... certaines parlent de merde (là), d'autres sont un peu dedans (ici), d'autres encore en écoutent (là) et enfin, les autres en font (nan nan, cherche pas, je ne suis pas une balance... la liberté est en chacunE de nous).
Du coup je suis restée bien au chaud, à transpirer devant un écran vert (bah oui... Roland Garros en couvert, c'est vert...) et un bocal de thé au miel. Et puis quelques herbes pas chinoises du tout qui calment les spasmes intestinaux... ça détend.
Mais pas trop, car il faut rester mobile. Et pouvoir faire une accélération, avec virage en bout de piste, le tout sans relâcher les sphincters, pour atteindre l'endroit stratégique du moment, les chiottes. Endroit dans lequel on a sagement empilé un certain nombre de numéros de Closer, histoire de ne pas avoir trop à réfléchir (oui... j'ai essayé l'histoire des idées politiques, ça me bloque quand je suis sur le trône...).
Là, je le sais, tu te marres, et tu te dis "bien fait pour sa gueule, l'avait qu'à pas bosser avec des ados qui oublient systématiquement de se laver les mains après avoir déféqué".
Moi aussi, je me marre.
Quoique, je n'ai pas encore identifié d'où venait la contagion... j'hésite encore entre les ados (mais vu que j'étais en grève jeudi dernier et que je ne bosse pas au collège le vendredi, ça m'étonnerais qu'un virus mette autant de temps à incuber), mes collègues de l'IUFM (et là, ça serait vraiment dégueulasse comme état d'esprit, même si c'est un concours) et mes coéquipières de hand du match de samedi dernier (que, je le rappelle, nous avons gagné 35 buts à 9, sans aucune remplaçante).
Sauf que là, c'est un peu la panique. Je passe mon épreuve d'EPS (Education Physique et Sportive...) vendredi matin... j'espère que ce passage n'aura pas trop réduit mes capacités, déjà limitées parun manque une absence d'entraînement au 1500 m.
Oui. Tu as bien lu. 1500 m à parcourir en un maximum de 8 min pour avoir la moyenne. C'était mon objectif de l'an dernier. Il reste le même cette année. D'autant que je suis plus en forme physiquement que l'an dernier... enfin jusqu'à maintenant.
Mais trêve de digression... le bon côté des choses, c'est que j'ai pu materle petit cul le match d'Amélie Mauresmo du coin de l'œil et que j'ai évité la surveillance de récréation sous la pluie battante, le tout entre deux siestes et plusieurs descentes culturelles impromptues.
Je crois que je vais même me faire arrêter 3 jours, histoire d'être bien en forme vendredi (oui... je n'ai aucune conscience professionnelle... j'aurai pu aller bosser, et refiler mon virus à tout le collège, histoire d'avoir moins d'élèves cette semaine... mais non, je me la joue égoïste sur ce coup).
Bon, faut que j'y aille, là...
Et là, je sens que vous vous dites que le titre n'a rien à voir avec les suites de Bach pour violoncelle seul... même par Yo-Yo Ma.
Effectivement. Elle a mis le week-end à mûrir, pour enfin se déclarer aujourd'hui.
Bilan : gastro.
Douloureuse et fiévreuse mais pas vomissante. C'est déjà ça.
Mais courante quand même.
Et puis de toutes façons, il n'y a pas de raison pour que je ne me laisse pas entraîner dans les délires scatologiques de la blogosphère... certaines parlent de merde (là), d'autres sont un peu dedans (ici), d'autres encore en écoutent (là) et enfin, les autres en font (nan nan, cherche pas, je ne suis pas une balance... la liberté est en chacunE de nous).
Du coup je suis restée bien au chaud, à transpirer devant un écran vert (bah oui... Roland Garros en couvert, c'est vert...) et un bocal de thé au miel. Et puis quelques herbes pas chinoises du tout qui calment les spasmes intestinaux... ça détend.
Mais pas trop, car il faut rester mobile. Et pouvoir faire une accélération, avec virage en bout de piste, le tout sans relâcher les sphincters, pour atteindre l'endroit stratégique du moment, les chiottes. Endroit dans lequel on a sagement empilé un certain nombre de numéros de Closer, histoire de ne pas avoir trop à réfléchir (oui... j'ai essayé l'histoire des idées politiques, ça me bloque quand je suis sur le trône...).
Là, je le sais, tu te marres, et tu te dis "bien fait pour sa gueule, l'avait qu'à pas bosser avec des ados qui oublient systématiquement de se laver les mains après avoir déféqué".
Moi aussi, je me marre.
Quoique, je n'ai pas encore identifié d'où venait la contagion... j'hésite encore entre les ados (mais vu que j'étais en grève jeudi dernier et que je ne bosse pas au collège le vendredi, ça m'étonnerais qu'un virus mette autant de temps à incuber), mes collègues de l'IUFM (et là, ça serait vraiment dégueulasse comme état d'esprit, même si c'est un concours) et mes coéquipières de hand du match de samedi dernier (que, je le rappelle, nous avons gagné 35 buts à 9, sans aucune remplaçante).
Sauf que là, c'est un peu la panique. Je passe mon épreuve d'EPS (Education Physique et Sportive...) vendredi matin... j'espère que ce passage n'aura pas trop réduit mes capacités, déjà limitées par
Oui. Tu as bien lu. 1500 m à parcourir en un maximum de 8 min pour avoir la moyenne. C'était mon objectif de l'an dernier. Il reste le même cette année. D'autant que je suis plus en forme physiquement que l'an dernier... enfin jusqu'à maintenant.
Mais trêve de digression... le bon côté des choses, c'est que j'ai pu mater
Je crois que je vais même me faire arrêter 3 jours, histoire d'être bien en forme vendredi (oui... je n'ai aucune conscience professionnelle... j'aurai pu aller bosser, et refiler mon virus à tout le collège, histoire d'avoir moins d'élèves cette semaine... mais non, je me la joue égoïste sur ce coup).
Bon, faut que j'y aille, là...