Hier, c'était une journée sympa. D'abord, parce que j'ai fait deux ventes et que j'avais un mois d'avril tout pourri que j'ai du coup rattrapé en cinq jours en mai, ça soulage. Aussi, parce que les gens suivent vraiment la météo, je croise que des Catherine Laborde, quand il fait beau, ils sont vraiment super sympas et trop de bonne humeur, ça soulage. Enfin, parce que j'ai rêvé que l'autre pétasse se faisait massacrer par le juge et que, du coup, ça m'a soulagée.
Bref, belle journée. Je devais même finir en beauté. Mais, la maternité n'offre pas que des réjouissances et parfois, tout ne se passe pas comme on le voudrait. Elle a peut-être eu peur la gamine de rencontrer une vraie vampire. Buffy, c'est pour les petites joueuses... Non, vous l'aurez compris, je blaguais. Mes blagues sont nulles, n'oubliez jamais. Ce n'est que partie remise et dîtes à cette gosse que je ne suis pas une vampire, pour de vrai. Et comme dirait sa mère, je lollerais bien là, mais je me retiens. Bouh je m'embarque dans des trucs des fois...
A quatorze heures, je suis partie en prospection. L'exercice est simple, il suffit de monter dans les immeubles, de frapper aux portes et si, par miracle (ou par malchance, parce que si les gens sont chez eux, c'est qu'ils ne sont soit pas au boulot, soit malades) quelqu'un ouvre, il faut sortir son plus beau sourire et dire :
- Bonjour, je suis MaB et je suis vraiment navrée de vous déranger en plein après-midi. Je travaille pour l'agence qui fait des toits avec ses bras et je suis à la recherche d'appartements à vendre ou à louer pour mes clients. Savez-vous s'il y a quelqu'un qui voudrait vendre dans votre immeuble ?
Là, au choix :
- Voilà le nom et le numéro de téléphone d'un type, que peut-être, il vendrait mais faut vérifier, je sais plus, c'était à la crémaillère du locataire du quatrième, j'étais un peu bourré.
ou
- Pfff je sais pas moi, pis je fais la sieste, repassez plus tard.
ou
- La madame elle est pas là, mais je peux laisser un message.
Et là, c'était Ma journée. En moins d'une heure, j'ai eu deux numéros de téléphone. Les années de métier me servent au moins à quelque chose, quand on a deux supers tuyaux en prospection, on est au maximum. En général, on récolte ça en deux heures. Si tu les as eu en moins de temps, tu arrêtes, parce qu'après, t'auras beau insister, t'auras plus rien. Tu vas faire que réveiller des gens. J'ai donc arrêté.
Comme il faisait vraiment très beau, la procrastination a repris le dessus. Je me suis dit que les cinq cent mailing qui me restaient à plier et mettre sous enveloppe pouvaient bien attendre encore un peu. Ce qui n'était pas que de la procrastination innocente, puisqu'en effet, j'étais sensée assurer la permanence et l'accueil de 17h30 à 19h00. Le lundi, l'assistante, qui a la tâche ingrate d'assurer cette fonction, est en repos et une fois n'est pas coutume, mon patron avait du boulot. Ca ne lui prend pas souvent et jamais plus de deux heures. Je me plie donc à la règle, quelque soit la météo.
J'étais à côté du Parc de Choisy (c'est dans le 13ème, j'aime bien ce parc, il est si calme). La mission mailing a vite été remplacée par la mission sitting.
Quand j'ai franchi la grille verdâtre, j'ai vu Gérard qui comatait au soleil et qui buvait une de ses bières dégueulasses. Il est sympa Gérard, la vie a du bon avec lui, il sourit tout le temps. Le seul défaut de Gérard, c'est qu'il ne respecte pas le périmètre de sécurité. Quand il demande une pièce ou qu'il raconte une blague trop pourrie à quelqu'un, il met toujours sa tête à deux centimètres de son interlocuteur. Il refoule sérieusement du goulot Gérard, alors quand il me fait le coup dès le matin, après le café, c'est un peu écoeurant. Il appelle toutes les femmes "mon petit lapin" et il a tout le temps envie de faire des bisous. Il se fait jeter, souvent. Un jour, je lui ai dit que c'était à cause de sa barbe, elle est tellement chargée. Il se met si près qu'on voit le puceron mort et le menu des restos du coeur depuis un trimestre. Il m'a vu arriver et comme c'est un gars poli, idiot mais poli, il s'est redressé.
- Salut MaB, ça va comme tu veux ? Va pas y avoir grand chose à vendre ici.
- Je viens prendre le soleil.
- T'as raison mon petit lapin.
Gérard avait un pile de métro à côté de lui. Il les vole dans le casier de la place d'Italie et il les revend à des crétins qui n'ont pas compris que c'était un journal gratuit.
- Je peux t'en prendre un ?
- Mais sers toi mon petit lapin !
Je lui ai pris un métro, mais ça me tracassait de ne pas jouer le jeu. Par moment, je l'enverrais bien ad patres cette bonne conscience judéo-crétine. Je lui ai filé deux cigares, il était tout pêteux de miel et de bonheur. C'était jour de fête. Je me suis dirigée vers la pelouse, j'ai croisé une marelle dessinée à la craie. On s'est regardé dans le fond des yeux avec Gérard. Les miens lui annonçaient que j'étais fière de ma petitesse intellectuelle, les siens salivaient d'avance. Et me voilà, dans mon tailleur-chemise tout propret, le cartable en cuir à la main en train de sauter à cloche-pied jusqu'au ciel. Gérard était plié en deux, un rire gras qui s'est très rapidement transformé en quinte de toux. J'ai bien cru qu'il allait mourir étouffé par sa bière cet idiot. Que ce soit clair, dans ce genre de circonstances, faut savoir sauver sa peau, pas question de se laisser tenter par un bouche à bouche. J'ai même pas l'AFPS, je sais pas faire, comme ça c'est réglé.
J'ai étalé ma veste au sol et je me suis mise en position de guetteuse d'avions. J'ai commencé à lire le métro de Gérard, le soleil me picotait le visage, c'était très agréable. Le plaisir n'a été que de courte durée. Métro c'est vraiment un torchon, heureusement que c'est gratuit, je comprendrais pas que les gens achètent ça. Les articles sont truffés de fautes d'orthographe (même moi je les vois, c'est dire) et les tournures de phrases sont dédicacées aux illettrés en tout genre. Je l'ai vite reposé, je sais que je suis une proie facile, que je peux m'abêtir facilement, alors je me protège. C'est que c'est délicat un cerveau, si on le nourrit mal, ça peut vite se rabougrir.
J'ai relevé la tête pour m'occuper en regardant le monde. Puisqu'aucun avion ne survole Paris. Il y avait un groupe de vieux chinois qui faisait des mouvements de Tai-chi-chuan. Il y a trois situations dans lesquelles je me sens parfaitement apaisée : quand je regarde des gens pratiquer le Tai-chi-chuan, quand j'essaye de suivre la balade d'un poisson des yeux et quand je reluque ma femme dans son sommeil. La dame qui était devant m'a sourit, j'ai rendu. Fin de la communication. Parfois, ça peut suffire.
Après, je suis restée concentrée un moment sur un arbre. Il avait l'air malade. Bêtement, ça m'a contrariée. Mes clignements ne l'ont pas guéri, moi si.
Et puis, j'ai fait le point. J'aime bien faire ça. Mon psy dit que c'est normal et que c'est sain, alors je ne me pose pas trop de questions. C'est lui le médecin. Il dit que je peux, je continue. J'ai fait le point sur ma vie, mes états d'âmes de trentenaire plus six, mes échecs et mes réussites. J'ai pensé à ma femme aussi, beaucoup. Elle est quand même vachement patiente. En y réfléchissant bien, elle mériterait peut-être mieux que moi, mais je vais être sincère avec vous, j'ai pas envie qu'elle cherche. Je me suis dit que j'étais une sacrée veinarde de l'avoir près de moi. C'est pas toujours les meilleurs qui ont de la chance, les autres aussi. Je me suis dit que d'être en accord sexuellement, intellectuellement et humainement avec quelqu'un c'était pas donné à tout le monde et qu'il fallait surtout que je me donne à fond pour être le petit machin essentiel à sa vie. Ca m'a requinquée.
Je suis retournée bosser, j'avais la patate. J'ai déniché un vrai mandat prospection dans la foulée. Je suis revenue à l'agence tout sourire. Mon patron me déteste, ça le dérange vraiment que je sois bonne en étant honnête. Tant pis pour lui. Il peut pas comprendre, il a pas de Kanou.
Quand elle est rentrée de son entrainement, je lui avais préparé le bon petit repas que j'avais prévu pour notre invitée. Elle a trouvé ça bon.
Je suis relancée, merci le Parc de Choisy. Je suis toute pleine d'amour que j'ai envie de lui donner.
Vous allez voir ce que je vais en faire moi, du stress du concours, de l'orpheline, de cette vie compliquée qui nous tombe sur la tête, de tous ces défauts qui mettent un joyeux capharnaüm, pas toujours joyeux, de ce quotidien parfois lourd à porter, parce que je me laisse si facilement aller. Je vais en faire de l'amour.
- C'est bien de faire de l'amour avec tout, non ?
- NON
- Ok...
Bref, belle journée. Je devais même finir en beauté. Mais, la maternité n'offre pas que des réjouissances et parfois, tout ne se passe pas comme on le voudrait. Elle a peut-être eu peur la gamine de rencontrer une vraie vampire. Buffy, c'est pour les petites joueuses... Non, vous l'aurez compris, je blaguais. Mes blagues sont nulles, n'oubliez jamais. Ce n'est que partie remise et dîtes à cette gosse que je ne suis pas une vampire, pour de vrai. Et comme dirait sa mère, je lollerais bien là, mais je me retiens. Bouh je m'embarque dans des trucs des fois...
A quatorze heures, je suis partie en prospection. L'exercice est simple, il suffit de monter dans les immeubles, de frapper aux portes et si, par miracle (ou par malchance, parce que si les gens sont chez eux, c'est qu'ils ne sont soit pas au boulot, soit malades) quelqu'un ouvre, il faut sortir son plus beau sourire et dire :
- Bonjour, je suis MaB et je suis vraiment navrée de vous déranger en plein après-midi. Je travaille pour l'agence qui fait des toits avec ses bras et je suis à la recherche d'appartements à vendre ou à louer pour mes clients. Savez-vous s'il y a quelqu'un qui voudrait vendre dans votre immeuble ?
Là, au choix :
- Voilà le nom et le numéro de téléphone d'un type, que peut-être, il vendrait mais faut vérifier, je sais plus, c'était à la crémaillère du locataire du quatrième, j'étais un peu bourré.
ou
- Pfff je sais pas moi, pis je fais la sieste, repassez plus tard.
ou
- La madame elle est pas là, mais je peux laisser un message.
Et là, c'était Ma journée. En moins d'une heure, j'ai eu deux numéros de téléphone. Les années de métier me servent au moins à quelque chose, quand on a deux supers tuyaux en prospection, on est au maximum. En général, on récolte ça en deux heures. Si tu les as eu en moins de temps, tu arrêtes, parce qu'après, t'auras beau insister, t'auras plus rien. Tu vas faire que réveiller des gens. J'ai donc arrêté.
Comme il faisait vraiment très beau, la procrastination a repris le dessus. Je me suis dit que les cinq cent mailing qui me restaient à plier et mettre sous enveloppe pouvaient bien attendre encore un peu. Ce qui n'était pas que de la procrastination innocente, puisqu'en effet, j'étais sensée assurer la permanence et l'accueil de 17h30 à 19h00. Le lundi, l'assistante, qui a la tâche ingrate d'assurer cette fonction, est en repos et une fois n'est pas coutume, mon patron avait du boulot. Ca ne lui prend pas souvent et jamais plus de deux heures. Je me plie donc à la règle, quelque soit la météo.
J'étais à côté du Parc de Choisy (c'est dans le 13ème, j'aime bien ce parc, il est si calme). La mission mailing a vite été remplacée par la mission sitting.
Quand j'ai franchi la grille verdâtre, j'ai vu Gérard qui comatait au soleil et qui buvait une de ses bières dégueulasses. Il est sympa Gérard, la vie a du bon avec lui, il sourit tout le temps. Le seul défaut de Gérard, c'est qu'il ne respecte pas le périmètre de sécurité. Quand il demande une pièce ou qu'il raconte une blague trop pourrie à quelqu'un, il met toujours sa tête à deux centimètres de son interlocuteur. Il refoule sérieusement du goulot Gérard, alors quand il me fait le coup dès le matin, après le café, c'est un peu écoeurant. Il appelle toutes les femmes "mon petit lapin" et il a tout le temps envie de faire des bisous. Il se fait jeter, souvent. Un jour, je lui ai dit que c'était à cause de sa barbe, elle est tellement chargée. Il se met si près qu'on voit le puceron mort et le menu des restos du coeur depuis un trimestre. Il m'a vu arriver et comme c'est un gars poli, idiot mais poli, il s'est redressé.
- Salut MaB, ça va comme tu veux ? Va pas y avoir grand chose à vendre ici.
- Je viens prendre le soleil.
- T'as raison mon petit lapin.
Gérard avait un pile de métro à côté de lui. Il les vole dans le casier de la place d'Italie et il les revend à des crétins qui n'ont pas compris que c'était un journal gratuit.
- Je peux t'en prendre un ?
- Mais sers toi mon petit lapin !
Je lui ai pris un métro, mais ça me tracassait de ne pas jouer le jeu. Par moment, je l'enverrais bien ad patres cette bonne conscience judéo-crétine. Je lui ai filé deux cigares, il était tout pêteux de miel et de bonheur. C'était jour de fête. Je me suis dirigée vers la pelouse, j'ai croisé une marelle dessinée à la craie. On s'est regardé dans le fond des yeux avec Gérard. Les miens lui annonçaient que j'étais fière de ma petitesse intellectuelle, les siens salivaient d'avance. Et me voilà, dans mon tailleur-chemise tout propret, le cartable en cuir à la main en train de sauter à cloche-pied jusqu'au ciel. Gérard était plié en deux, un rire gras qui s'est très rapidement transformé en quinte de toux. J'ai bien cru qu'il allait mourir étouffé par sa bière cet idiot. Que ce soit clair, dans ce genre de circonstances, faut savoir sauver sa peau, pas question de se laisser tenter par un bouche à bouche. J'ai même pas l'AFPS, je sais pas faire, comme ça c'est réglé.
J'ai étalé ma veste au sol et je me suis mise en position de guetteuse d'avions. J'ai commencé à lire le métro de Gérard, le soleil me picotait le visage, c'était très agréable. Le plaisir n'a été que de courte durée. Métro c'est vraiment un torchon, heureusement que c'est gratuit, je comprendrais pas que les gens achètent ça. Les articles sont truffés de fautes d'orthographe (même moi je les vois, c'est dire) et les tournures de phrases sont dédicacées aux illettrés en tout genre. Je l'ai vite reposé, je sais que je suis une proie facile, que je peux m'abêtir facilement, alors je me protège. C'est que c'est délicat un cerveau, si on le nourrit mal, ça peut vite se rabougrir.
J'ai relevé la tête pour m'occuper en regardant le monde. Puisqu'aucun avion ne survole Paris. Il y avait un groupe de vieux chinois qui faisait des mouvements de Tai-chi-chuan. Il y a trois situations dans lesquelles je me sens parfaitement apaisée : quand je regarde des gens pratiquer le Tai-chi-chuan, quand j'essaye de suivre la balade d'un poisson des yeux et quand je reluque ma femme dans son sommeil. La dame qui était devant m'a sourit, j'ai rendu. Fin de la communication. Parfois, ça peut suffire.
Après, je suis restée concentrée un moment sur un arbre. Il avait l'air malade. Bêtement, ça m'a contrariée. Mes clignements ne l'ont pas guéri, moi si.
Et puis, j'ai fait le point. J'aime bien faire ça. Mon psy dit que c'est normal et que c'est sain, alors je ne me pose pas trop de questions. C'est lui le médecin. Il dit que je peux, je continue. J'ai fait le point sur ma vie, mes états d'âmes de trentenaire plus six, mes échecs et mes réussites. J'ai pensé à ma femme aussi, beaucoup. Elle est quand même vachement patiente. En y réfléchissant bien, elle mériterait peut-être mieux que moi, mais je vais être sincère avec vous, j'ai pas envie qu'elle cherche. Je me suis dit que j'étais une sacrée veinarde de l'avoir près de moi. C'est pas toujours les meilleurs qui ont de la chance, les autres aussi. Je me suis dit que d'être en accord sexuellement, intellectuellement et humainement avec quelqu'un c'était pas donné à tout le monde et qu'il fallait surtout que je me donne à fond pour être le petit machin essentiel à sa vie. Ca m'a requinquée.
Je suis retournée bosser, j'avais la patate. J'ai déniché un vrai mandat prospection dans la foulée. Je suis revenue à l'agence tout sourire. Mon patron me déteste, ça le dérange vraiment que je sois bonne en étant honnête. Tant pis pour lui. Il peut pas comprendre, il a pas de Kanou.
Quand elle est rentrée de son entrainement, je lui avais préparé le bon petit repas que j'avais prévu pour notre invitée. Elle a trouvé ça bon.
Je suis relancée, merci le Parc de Choisy. Je suis toute pleine d'amour que j'ai envie de lui donner.
Vous allez voir ce que je vais en faire moi, du stress du concours, de l'orpheline, de cette vie compliquée qui nous tombe sur la tête, de tous ces défauts qui mettent un joyeux capharnaüm, pas toujours joyeux, de ce quotidien parfois lourd à porter, parce que je me laisse si facilement aller. Je vais en faire de l'amour.
- C'est bien de faire de l'amour avec tout, non ?
- NON
- Ok...
7 commentaires:
oui c'est bien
La gamine va mieux, la gamine te prouvera très bientôt que le vampire, c'est ELLE (et vous l'aurez bien cherché).
Et Gerard, c'est un clone de Vincent, c'est pas possible autrement!
Lache l'immobilier, viens bosser avec nous, ta façon de raconter Gérard prouve bien que t'as la fibre!
Purée... mon commentaire va paraître bien flasque par rapport à la qualité de ton écriture. J'ai hésité à en laisser un, du coup. Mais j'ai fini par me dire: aller, je me lance. Parce que j'avais juste envie de dire "merci", que je pouvais pas partir sans rien poster dans ta boîte à commentaire, qu'après un message comme ça, ça se fait pas, c'est pas poli.
Je laisse l'emmerdeuse te flatter d'avoir encore utiliser son mot, enfin, ton mot, enfin, votre mot, quoi...
Bon, il sort quand ton bouquin?
ah ben zut alors, y'avait zéro commentaire, et tout à coup, paf, quand je poste: 3 !! et moi en dernier, (et moi avec une faute en plus... "utilisé") c'est pas juste!!!
Bref. Tu me permets, j'engueule l'emmerdeuse de pas avoir remarqué LE mot.
nous sommes toutes là : t'as raison, ouais, t'as raison !
l'Emmerdeuse : tant mieux si ELLE va mieux ! :-) ça me fait plaisir...
Gerard a un clone, la vache faut que je lui dise !
Je n'ai absolument pas la capacité intellectuelle pour devenir infirmière, c'est gentil, mais je vais rester commerciale. Mais je suis certaine que ça m'aurait vraiment plu.
Zeste : rhhoooo comme je suis contente que tu mettes deux com' sur un de mes posts... Tu n'as pas à dire de tes interventions qu'elles sont "flasques", tu as d'excellentes qualités rédactionnelles comme j'ai déjà pu bien des fois le constater.
Ah et merci de faire remarquer le regrettable oubli de l'Emmerdeuse ;-)
Jsuis jalouse au début jpensais que Gérard il ne le disait qu'à moi "ptit chat" ben non.
Cruelle désillusion... arf
Bon ben j'aurais tjrs mes jolie yeux verts pour moi comme compliment de sa part loooool
Zezette-la-blonde est de retour !
Mais tout le quartier sait que Gérard se meurt d'amour pour toi... tu restes sa préférée ! :-D
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